Accords perdus
De tes mains apposées, délivre moi des mots. En nage, je rage, je souffre de maux.
Ecarte mes chaires passées Par moi créés, par moi harassé
En moi, la vie infuse de ton corps. Je me raidis, pas de mort.
Sous tes doigts je frémis Sous ton poids je gémis
L’un dessus, l’autre sans sous. Aveugle devant la Roue.
Physique est la distance. Elle augmente le silence.
Je me dénigre seul et par toi Je vis pour moi
Espoir déclinant. Et néanmoins présent.